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Paru le 15 Décembre dans Il caffè
La Svizzera è il campione della connessione internet in Europa e il primato ha agevolato delle start-up come eboutic.ch che che si è fatta strada con successo nel mercato nazionale per le vendite online.
La differenza
A differenza dei suoi principali concorrenti presenti da diversi anni, eboutic.ch ha puntato su grandi marchi e riduzioni dello stock sul mercato.
La tattica
eboutic.ch è in grado di offrire sconti che vanno dal 20-80% sui prodotti evidenziati solo per un paio di giorni sul suo sito web.
Il punto critico
L'unico svantaggio evidente delle vendite da stock è che gli articoli offerti non sono sempre disponibili in tutte le taglie.
La logistica
Dal suo lancio come start up, l'azienda attualmente ha portato a 50 i suoi dipendenti e dispone di un centro logistico a Monthey.
Le pagine web
Finora eboutic.ch ha registrato quasi cento milioni di pagine web visitate e oltre 200.000 articoli venduti.
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Paru le 12 Décembre dans Ghi
JMV - Il y a des inventions qui brillent par leur utilité, surtout quand elle est disponible en Suisse en exclusivité européenne. Celle-ci en est une. Pouvoir recharger son smartphone sans fil en quelques secondes et quasiment n'importe où, voilà ce que propose le Duracell Powermat.
Ce nom barbare cache en fait une tablette de chargement pour 1, 2 ou 3 appareils, une coque spéciale et une batterie de secours. Que vous soyez iPhone ou Samsung, chacun son kit. Il suffit de poser son téléphone sur la tablette, très esthétique au passage, et le chargement démarre immédiatement. Finies les conversations coupées et les grands moments de solitude ! D'ailleurs, prochainement une App permettra de localiser les tablettes de chargement les plus proches de soi...
Disponible dans les points de vente "Edmond Baud Quincaillerie" et le 14 décembre sur www.eboutic.ch.
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Paru le 5 Novembre dans Le temps
Faire de ses achats sur le Net une loterie permanente, l’idée de Cherry Checkout est ludique. Le concept avait fait fureur au Startup Weekend de Lausanne et reste divertissant. Mais cela suffit-il pour créer une société rentable? Quand bien même les trois fondateurs limitent au maximum leurs frais – par exemple en s’abstenant d’un loyer de bureau fixe – ils se heurtent à la problématique de l’e-commerce. Ou, plutôt, à la prolifération des petits sites marchands et donc à un travail commercial gigantesque, auquel ils n’étaient peut-être pas assez préparés. Comme bon nombre de jeunes entrepreneurs, d’ailleurs.
Et si LeShop ou eboutic.ch, des références romandes, leur faisaient confiance? Ces «grands» attendent de voir comment le concept fonctionne chez les petits. Quant aux plus modestes, apeurés face à la nouveauté, ils temporisent afin de voir si les leaders l’adoptent. Bref, dans ce serpent qui se mord la queue, que fait le bouillonnant fondateur de Qoqa.ch? Si Pascal Meyer, qui incarne en Suisse romande la «fun attitude», n’adhère pas, du moins pas encore, c’est un signe: les fondateurs de la start-up genevoise ont besoin de renforcer leur marketing. Sinon, leur idée s’évanouira très vite.
Par Ghislaine Bloch
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Paru le 31 Août dans 24heures
Le nombre de contrats augmente. Notamment en favorisant les signatures de la dernière chance
La dernière idée imaginée pour soutenir la création de places d'apprentissage a porté ses fruits. Septante-trois contrats "last-minute" viennent d'être signés après la date légale du 31 juillet. Conçu ce printemps, le dispositif met en relation les employeurs qui se décident au dernier moment et les jeunes qui n'ont encore rien trouvé.
"Quand on a démarré, nous pensions arriver à cinq contrats supplémentaires et on en a septante-trois!" se réjouit Sylvie Roldan-Dessenne adjointe à la Division de l'apprentissage. Lancée le 1er juillet, l'opération a permis aux employeurs de contacter la Division apprentissage, pour faire part de leur besoin du moment. La Division a transmis les requêtes à l'Office cantonal d'orientation scolaire et professionnelle qui, lui, avait les noms des jeunes en quête d'emploi.
"Une nouvelle chance"
Christelle Freiholz, adjointe au chef du Service du personnel de la Ville de Morges, a bénéficié de l'ouverture : "Cette année, nous n'étions pas sûrs que l'un de nos apprentis allait passer son CFC." Difficile, dès lors, d'engager le suivant sans savoir. "Au final, les examens ont été réussis et nous avons dû chercher sur le tard."
Le service a-t-il craint de tomber sur des postulants moins brillants, déjà écartés par d'autre patrons? "Non, commente François Delaquis, chef de Christine Freiholz. Nous étions prêts à prendre quelqu'un qui pouvait avoir potentiellement des difficultés. On nous a présenté trois ou quatre dossiers. Tous tenaient bien la route et les jeunes étaient motivés."
L'histoire s'est terminée par l'engagement de Maïté Taruffi, 21 ans, qui, elle, a raté son CFC après son apprentissage à... l'Etat. Le service de la Santé publique pour lequel elle avait travaillé n'allait pas la reprendre en cas d'échec. Une chance pour la jeune femme que la Commune de Morges n'ait pas la même politique.: "J'estime intéressant de donner une nouvelle chance", dit Christine Freiholz.
Une aide précieuse
Autre exemple, Laure de Gennes, co-fondatrice d'eboutic.ch, un site d'e-commerce démarré en 2007, mène une boîte de 50 personnes : "Il n'y a pas d'école pour notre métier et il faut donc former des gens. Nous avons décidé d'engager un apprenti assez tard dans l'année. L'Etat nous a vraiment aidés en nous mettant en contact avec quelqu'un qui a l'air de bien coller. C'est génial, car il faut une bonne dose de réactivité dans le travail avec les internautes."
La suite de l'article est disponible sous forme de pdf.
Par Lisa Bourgeois
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Paru le 30 Août dans Entreprise romande
Le positionnement d'Apple inspiré des marques de luxe. Sous ce titre, un article du journal Le Figaro publié il y a quelques mois expliquait que pour ses magasins, pour ses emballages, pour ses matériaux ou encore en matière de saisonnalité de ses produits, l'entreprise de Steve Jobs "emprunte davantage ses codes au monde de l'apparat qu'à celui de la technologie. (...)
"Le client doit comprendre ce qu'il achète"
Ce raisonnement et ces constats économiques sont confirmés par les témoignages de certains acteurs romands du low cost et du haut de gamme. Laure De Gennes, cofondatrice du site de e-commerce eboutic.ch, spécialisé dans les offres de marques à prix réduits, pense aussi, à l'instar d'Emmanuel Combe, que le milieu de gamme trouvera un second souffle en communicant mieux. "Beaucoup d'entreprises du mass market n'utilisent pas d manière assez efficace les outils du web. Ces derniers permettent pourtant d'améliorer fortement la relation client."
Article complet disponible au format pdf.
Un dossier réalisé par Grégory Tesnier
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Paru le 1 Mai dans Pme magazine
Laure de Gennes, cofondatrice d'eboutic.ch, reconnaît que l'annonce d'une grossesse à son employeur, y compris dans son cas, n'a jamais été un moment agréable, "car on sait que l'on va être absente plusieurs mois".
Même si nous sommes actuellement 50 personnes, dont 60% de femmes à majorité assez jeunes, je ne crains pas les grossesse. La maternité n'est pas une maladie et mieux une collaboratrice se sentira durant cette période, mieux elle travaillera.
Lorsqu'une employée vient de déclarer sa grossesse, je la félicite avant tout. J'ai fait de bonnes expériences en accordant un mois de congé supplémentaire. Les mamans travaillent plus sereinement quand elles n'ont pas la tête prise avec les gardes et les nuits du bébé. De même, une reprise à 60% est mieux. Et, après deux mois, on fait le point. L'annonce d'une grossesse à son employeur, y compris dans mon cas à l'époque, n'a jamais été un moment agréable, car on sait que l'on va être absente plusieurs mois. Une de mes chefs de projet est tombée enceinte il y a quelque temps. Elle était récente dans l'équipe et très stressée par cette situation. En plus, elle a dû arrêter plus tôt lors de sa grossesse. Nous avons repris contact un mois et demi après la naissance et mis en place un 6% où elle travaille un jour et demi à la maison.
Je garde toujours une oreille ouverte et j'encourage mes employées à proposer des solutions. L'une de mes responsables souhaitait travailler à la maison les derniers mois de sa grossesse pour alléger la fatigue des déplacements. Le système a bien fonctionné et on l'a gardé partiellement à son retour. J'ai lancé eboutic.ch peu avant la naissance de mon troisième enfant. Avoir des enfants n'a jamais été un frein à ma carrière, ni en tant qu'employée, ni en tant que dirigeante. Ce sont des absences organisées. Les deux premières semaines de reprise étaient toujours stressantes. Je ne voulais pas pénaliser l'quipe, je craignais la maladie, les imprévus. Et ensuite j'étais de nouveau dans le bain.
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Paru le 4 Avril dans Agefilife
Le rapport qu'entretiennent les Helvètes avec la mode est souvent matières à discussion. Le présent sujet ne s'arrête là. Coup de projecteur sur quelques entreprises à crois blanche, propriétaires de marques de prêt-à-porter étrangères qui rayonnent à l'international.
Riche d'un passé dans l'industrie de la mode - secteur qui se divise en deux pôles, le textile et l'habillement-, notre patrie démontre de par son histoire, qu'en matière d'innovation, de qualité et de fiabilité, ses produits restent hautement prisée, spécialement dans le domaine de la haute couture et du high-tech. Notre pays possède donc de nombreux atouts propices au développement et à la création : positionnement géographique, savoir-faire et main d'oeuvre qualifiée, richesse culturelle et linguistique, pouvoir d'achat et d'investissement conséquents. Sur le plan des exportations, les marque de prêt-à-porter suisses telles que Strellson et Windsor (Holy Fashion Group) ou encore Victorinox illustrent les chiffres. Selon le bilan réalisé par la Fédération texte suisse en 2012, 68,2% du prêt-à-porter s'exportait hors de nos frontières. Mais qu'en est-il de ces entreprises suisses qui investissent dans la mode à l'étranger ? Quelle est leur stratégie ? quel est leur rapport à la mode ? Difficile, voir impossible, d'obtenir des réponses auprès des dirigeants contactés. Nous nous arrêterons donc aux faits.
Investir...
En décembre dernier, tous les projecteurs se sont tournés sur le groupe genevois Maus Frères. Ce dernier, déjà détenteur de 35% du capital de Lacoste au travers de sa filiale Devanlay, a fait grand bruit - et ce bien malgré lui, tant la holding familiale cultive la discrétion - en rachetant pour la somme d'1,2 milliards de francs, la totalité de la marque au crocodile. On découvre alors une entreprise helvétique qui réalise 5,3 milliards de francs de chiffre d'affaires et emploie quelque 23 000 employés à traves le monde et où culture familiale et pérennité des affaires guident le groupe depuis toujours. En Suisse, Maus Frères possèdent Manor, Manor Food et Manora, les enseignes de bricolage Jumbo et de spot Athléticum ainsi que 70% de la société de vente en ligne eboutic.ch. À l'international, il possède de la chaîne française de parapharmacie Parashop, les marques Devanlay (1998), Aigle (2003) et Gant (2008). Propriété depuis plus d'un siècle des familles Maus et Nordmann é devenues par mariage en 1929 un seul et même clan-, la société est aujourd'hui aux mains de la quatrième génération.
Voir la suite directement sur le format pdf.
Par E. Künzler-Reisser
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Paru le 8 Février dans La borsa della spesa
Sono cresciuti come funghi anche lungo le autostrade di internet. Sono offerti a prezzi scontati - c persino scontatissimi - tutti gli articoli e immaginabili. Dagli elettrodomestici agli apparecchi dell'elettronica da intrattenimento, dalle scarpe ai vestiti, dai profumi ai gioielli più o meno preziosi e via discorrendo, ce n'è per tutti i gusti. E per tutte le tasche.
In Svizzera, trasli outlet online che vanno per la maggiore, si possono citare eboutic.ch e my-store.ch. Sia nell'une sia nell'altro, i prodotti sono messi in vendita solo per una panciata di giorni, solitamente quattro. A giudicare da quanto in fretta vanno esauriti certi articoli, i clienti non mancano.Soprattutto se sono di marche conosciute. Occhio, però: guardate sempre per bene quanto vi costa la spedizione, poiché di solito le relative spese sono fatturate per ogni singolo gruppo di articoli. Insomma, se compri un paio di scarpe da donna Janiko ribassate da 455 a 199 franchi, te ne vengono accollati 9,90 e altrettanti deve i pagarne in più se, per esempio, contemporaneamente acquisti un temporizzatore elettrico scontato da 10 a 7 franchi, come risultava tra le offerte di eboutic.ch.
Soprattuto, però, leggetevi per bene le condizioni generali, in particolare il capitolo riguardante le restituzione dei prodotti, cosa che scontata non loè per niente, al contrario dei prezzi.
Infatti, per il commercio elettronico - e ciò vale per ogni tipo di negozio online - la legislazione svizzera, come d'altra parte per gli acquisti in quelli comuni, non prevede alcun diritto alla rinuncia da parte del cliente, une volta effettuato l'ordine. Il venditore può prevedere une clausola che lo permetta, ma non è sottoposto a nessun obbligo in materia. E come la mettiamo con la garanzia? Se l'articolo è difettoso, l'acquirente gode, dal l'gennaio 2013, della garanzia di 2 anni (peri dettagli vedi a pag. 12).
Tenendo conto di ciò, un ultimo consiglio a proposito degli outlet online è di essere molto cauti con le offerte che propongono interventi sul proprio corpo, di bellezza e anche medici. Se andasse storta, non è come ritrovarsi con scarpe troppo piccolo o troppo grandi…
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Paru le 23 Janvier dans Bilan
Qu'elles soient suisses ou étrangères, modestes ou maousses, bon nombre d'entreprises de vente en ligne ne ramènent pas encore d'argent. Enquête sur un phénomène en devenir.
Dites Amazon, dites Zappos, dites Zalando aux aficionados du commerce en ligne, ils auront des étoiles dans les yeux. Ces icônes de l'e-commerce auraient trouvé la pierre philosophale, rapporteraient comme personne avant eux, enterreraient définitivement le commerce traditionnel. Mais faites l'enquête et vous en douterez bientôt.
Concernant Zalando, la chaîne de télévision allemande ZDF s'en est chargée, alertée par un déferlement de critiques nées, ironie du sort, sur les réseaux sociaux. Résultat : un bien vilain cadeau de Noël pour l'omniprésent site allemand de commerce en ligne. Zalando payerait des salaires de 7 euros de l'heure, sans fournir de place assise à ses employés. Bigre. Dans la foulée, la chaîne a dévoilé les résultats du leader auropéen. Et là, c'est la douche froide : Zalando a perdu 40 millions d'euros l'an dernier, pour un chiffre d'affaires de 510 millions. La faute à un taux de retour énorme des marchandises (70%) et à des dépenses marketing vertigineuses. Cette année, Zalando devrait doubler son chiffre d'affaires, à plus d'un milliard d'euros, mais aussi... doubler ses pertes.
Une foule d'acteurs se sont engouffrés dans la brèche de l'e-commerce, et beaucoup d'entre eux resteront sur le carreau. "On est en plein darwinisme, résume à merveille Christian Wanner, patron de LeShop, détenu à 90,5% par Migros. Nous sommes néanmoins un des rares alimentaires en ligne à être profitables, même si nos résultats stagnent depuis deux ans." L'exercice 2012 de LeShop vient en effet de tomber : 150 millions de francs de chiffre d'affaires, égal à celui de 2011, qui était par ailleurs la première année de rentabilité depuis sa création en 1998. Une stagnation - heureuse - qu'il doit au lancement de l'application iPad et à l'ouverture d'un drive-in, sans lesquels il aurait régressé.
"Les acteurs suisses du net ont du retard, estime Nicolas Inglard, directeur d'Imadeo, entreprise active dans l'étude, le conseil et le business development. LeShop, comme tant d'autres, ne capte toujours pas une proportion significative du commerce. Car enfin, son chiffre d'affaires annuel équivaut à celui d'une Migros 3M, pas d'avantage !" Et Migros compte 623 points de vente en Suisse...
Toutes les entreprises ne sont pas aussi transparentes que le géant orange. si elles s'entredévorent en pleine lumière de la toile, elles font figure pour leurs résultats de rois de l'opacité : "Nous ne communiquons pas de chiffres par secteur, répond Alexandre Barras, porte-parole de Manor. Mais en termes de visites, notre site se situe dans le top 10 de nos points de vente." Ce qui ne signifie pas grand-chose, puisqu'une visite ne correspond pas forcément à un achat. Mais qu'importe, être présent sur le net est un impératif, d'abord parce qu'il faut raisonner en termes de ventes perdues si l'enseigne s'y soustrayait, ensuite parce que le net est considéré comme une vitrine, que certains consultent avant d'aller essayer en magasin. "Manor.ch provoque une augmentation des visites dans nos différents magasins, confirme Alexandre Barras. De nombreux clients commandent online et se font livrer leurs achats dans le magasin de leur choix."
Voir la suite directement au format pdf.
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